vendredi 17 avril 2009

Les "Juste cuits"


Retour sur un certain 14 février 2009

Voulant faire plaisir à mon +1, je m'étais mis en quête de recettes pas trop difficiles à réaliser, rapides à préparer mais épatantes ! Avouez que c'est toujours mieux de voir les yeux de sa moitié brillants de bonheur, à la vue d'un tel feu d'artifice de bonnes choses...

Pour le dessert, j'avais dans mes placards un livre de Christophe Felder "le Chocolat" depuis quelques mois que je n'avais pas encore exploré... J'ai choisi de lui préparer en 15 min maxi (+ cuisson) :

4 « juste cuits »

Ingrédients :
-3 œufs
-110 g de sucre semoule
-100 g de chocolat à 70% de cacao
-90 g de beurre
-35 g de farine
-1 cuil. à café de cacao en poudre
-1 cuil. à soupe de lait

Fouetter les œufs et le sucre sans les blanchir.
Hacher le chocolat et le faire fondre au bain-marie, puis ajouter le beurre. Bien mélanger jusqu’à l’obtention d’une texture lisse.

Verser le chocolat fondu sur le mélange œufs et sucre. Mélanger. Ajouter la farine, le cacao et le lait.
Beurrer et fariner 4 petits moules ou utiliser des moules souples.
Verser la pâte dans les moules et mettre 1h au congélateur

5 à 10 min avant de les sortir du congélo, préchauffez votre four à 210°C (th.7)
Mettre les moules presque congelés au four pendant 10 min en surveillant bien...
Sortir du four, laissez tiédir avant de démouler...

Eh oui, l'effet est saisissant ! Le secret réside dans le fait de placer les pots au congélateur avant de les faire cuire. Cela permet de ramener le cœur des juste cuits à une température très basse, et évite ainsi qu'ils ne cuisent trop vite... Astucieuse l'idée !

Pour ma part ils se sont démoulés sans aucun soucis, grâce à la farine. Il est important d'utiliser des ramequins ou des pots en verre sans rebords remontants (pas ceux de la célèbre marque de yaourts par exemple) sous peine d'avoir toute les peines du monde à démouler votre merveille toute fragile, car encore coulante à l'intérieur...

Bonne dégustation ! Mon +1 était ravi du résultat, moi aussi ; on s'est même permis une pause avant de les déguster, mais ceci est une autre histoire...

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